échecs: Capablanca
C'est le cubain Capablanca qui ravit la place de numéro 1 à Lasker. Capablanca était considéré comme invincible. On dirait de nos jours qu'il était une vraie machine à jouer.
Blog généraliste en rapport avec l'actualité, la politique économique et sociale, les droits de l'homme, l'histoire, les civilisations etc
C'est le cubain Capablanca qui ravit la place de numéro 1 à Lasker. Capablanca était considéré comme invincible. On dirait de nos jours qu'il était une vraie machine à jouer.
Ce champion de très haut niveau joua 325 parties de tournoi entre 1889 et 1936. A partir de 1910, il eut à affronter une nouvelle génération de joueurs professionnels de premier plan (Capablanca, Alekhine, Réti, Tartacover...).
On appelle Blancs (avec un B majuscule) le camp des pièces blanches ou de couleur claire.
Pièce placée devant un pion adverse qui par sa présence empêche le pion d'avancer.
Un bon fou est un fou qui n'est pas gêné dans son évolution par ses propres pions; ceux-ci étant placés sur une couleur différente.
On appelle bande, les lignes les plus extérieures de l'échiquier. C'est à dire les colonne a et h - les rangées 1 et 8.
article en préparation Le baiser de la mort est un mat classique réalisé avec la dame (qui vient se coller au roi adverse) et une pièce chargée de sa protection.
Louis Charles Mahé de La Bourdonnais a été au XIX siècle le numéro 1 de la Régence. Il était notamment très réputé pour ses parties à l'aveugle. C'est La Bourdonnais qui devait créer la première revue d'échecs, le Palamèdes.
Paul Morphy a été un joueur américain d'exception. A l'âge de 12 ans il était déjà capable de battre à plat de couture son oncle Ernest Morphy qui était champion de la Nouvelle-Orléans. On doit notamment à ce champion la partie dite "partie de l'opéra"...